La route de col s’enroule comme un spaghetti géant posé sur la montagne, offrant des virages si serrés qu’on se demande si le GPS n’a pas bu un coup. Entre deux lacets, la vue coupe le souffle — ou est-ce la montée ? Les sapins applaudissent au passage, les marmottes observent comme des contrôleurs de péage non officiels, et au sommet, le paysage récompense l’effort avec un panorama qui vaut largement la sueur… et peut-être un sandwich.